L’objectif de Piola est simple : voir au delà des perspectives, parfois limitées, du commerce équitable. Main dans la main avec 33 producteurs péruviens, la marque française crée des sneakers premium, supplément d’âme inclus.
Pendant son année passée dans une ONG du Pérou, Antoine tombe amoureux du pays et se crée un réseau important dans l’univers associatif. De retour en France, il fonde Piola avec l’aide des 3 amis, Augustin, Josh et Quentin. Leur envie ? Faire converger créativité et développement économique. En partenariat avec WWF et une antenne de l’ONU, la griffe française a mis en place un projet permettant aux producteurs avec lesquels elle travaille d’améliorer leurs conditions de vie.
Car même si les chaussures, sont fabriquées au Portugal, la matière première provient du Pérou. Leurs semelles contiennent 60% de caoutchouc sauvage brut, produit en Amazonie et acheté 5 fois le prix du marché local, alors que la moyenne ne s’élève pas à plus de 10%. Quant au coton biologique Tanguïs, réputé pour son épaisseur, il est acheté à des familles péruviennes vivant dans le sud du pays.
Cependant, contrairement au commerce équitable, l’argent récolté par la marque grâce aux ventes ne sert pas à acheter ces matières premières à un prix sérieux mais à financer des projets bien précis. Pour chaque paire achetée, 4 euros est reversé à l’un des producteurs pour financer la construction d’un atelier de séchage dédié à la transformation du latex en feuille de caoutchouc. Par la suite, cet argent pourrait même servir à financer l’accès à l’eau potable, à l’électricité, à l’école… les possibilités sont nombreuses et permettront aux producteurs d’entrevoir un avenir plus radieux pour les générations à venir.
Pour aider la marque à tenir ses engagements, c’est par ici !
